Non mais sérieux, qui à bouffé mes popcorns ♯ Libre

Qui à bouffé mes popcorns

J’avais dur, vraiment. Ce nouveau régime alimentaire était pesant, je rêvais d’un peu de sang frais. Sentir ce sang couler dans ma gorge, le plaisir que cela procurais…Non, je ne devais pas y penser, je devais absolument me tenir et continuer à aller de l’avant. Conduisant pour rentrer chez moi, j’avais enfin fini ma journée de travail. Etre vétérinaire quand on est vampire, ce n’est pas facile croyez-moi, surtout pour un vampire qui est en plein sevrage. D’ailleurs, je me demandais comment Carlisle faisait pour être médecin. Mais bon, il était végétarien depuis bien plus longtemps que moi. Brusquement, j’avais une envie folle de popcorn, allez savoir pourquoi. Oui, je sais, normalement les vampires ne mangent pas de nourriture humaine, néanmoins, il m’arrivait quelques fois d’avoir une envie subite de popcorn et quand cela se produisait, je devais absolument en avoir. Accélérant, je n’avais qu’une envie, me goinfrer. Pénétrant dans l’allée de ma nouvelle maison, je garais la voiture et sortis rapidement. Tendant l’oreille, j’entendis du mouvement dans la villa, apparemment je ne serais pas seul. C’était un comble moi qui était généralement un solitaire, je me retrouvais plongé dans une famille immense de vampire. D’ailleurs, je dois bien avouer qu’avoir une famille ne m’étais pas désagréable.

Montant les marches, je fis un saut dans la cuisine totalement déserte. Ma famille attendra bien deux secondes pour les salutations…je voulais mes popcorns et d’ailleurs, j’avais toujours un paquet en réserve dans l’armoire. Ouvrant l’armoire, je me mis à fouiller dans celui-ci et surprise, je n’y trouvais rien du tout. Pas de popcorn ! Mon visage se ferma et je me mis à crier dans la villa « Non de dieu, qui a bouffé mes popcorn ! » Des rires émanaient du salon, j’allais y aller quand j’entendis au loin un miaou enfermé. Et merde, j’avais oublié le chat d’une patiente en rééducation. Faisant une petite moue désolé, je me précipitais dans la voiture et en sortis le chat à la patte cassée. « Je suis désolé neige, je t’avais oublié à cause de mes popcorns que je n’aurais d’ailleurs pas… » Oui, il y a des jours comme ça ou mes envies n’étaient décidément que des rêves incompris. Bref, remontant avec la petite boule de poile, je savais qu’une des Cullen serait ravie de voir le chat. Blondie. Effectivement, j’avais encore du mal à dire mes frères et mes sœurs, après tout, je n’étais dans la famille que depuis quelques mois. Montant de nouveau les escaliers, je pénétrais dans le salon, le chat dans mes bras. « Interdiction de bouffer le chat, c’est un patient, alors si vous le manger je vous crame les fesses. » Oui, j’avais tendance à faire des remarques assez débiles, mais bon, j’aimais faire des blagues et rigoler à tous va, même quand la situation n’était pas vraiment faite pour.

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J'étais sortit un petit peu, histoire de prendre un peu l'air.Je pensais à mes parents, les vrais, ceux qui m'avaient fais et qui sont mort à présent. Je me demandais si de là haut, ils étaient heureux que je suis un vampire, je me demande si ils sont heureux de voir leur fils, voir surtout ce que je suis devenu, soit un vampire. Enfin, je n'en veux pas à Carliste, c'est m'a mère qui lui a demander de me sauver, je ne lui en veut pas du tout. Mon père, je pense pareil, ils me manque tellement, j'aimerai tant les voir et leur parler. Enfin bon, après pratiquement deux heures dehors, je pars pour la maison à nouveau. Pendant mon chemin, je pensais aussi à ma rencontre avec Bella, quand je suis tombé sous son charme et que par la suite,j'en tomba fou amoureux. Bien sûr je ne voulais pas tomber amoureux d'une simple humaine, mais les sentiments étaient trop forts. J'ai traversée beaucoup d'épreuve quand même et maintenant, je suis un homme heureux et fou amoureux mais aussi comblé. J'ai une merveille fille de 17 ans, et un fils adoptif alors que demandez de plus franchement? Après 20 minutes de marche environ, j'arrivais enfin à la maison, j'aime bien marcher et puis je suis jamais fatigué plutôt chouette. Arrivé, je vis une voiture.<<Mais à qui elle appartient? Pas à Carliste en tout et encore moins aux autre membres de ma famille.Soyons prudent tout de même.>>J'avançais en douceur,dans l'allée centrale, je regardais à droite et à gauche, j'écoutais bien si il n'y aurai pas une personne caché dans les buissons, mais rien. Je continuais ma route toujours sur mes gardes. Je montais les escaliers pour aller dans le salon et là j'entendis une voix étrangère.Je me demandais qui était là et qui à osé pénétrait chez nous. Je rentre dans la pièce où je vis un homme, que je ne connaissais pas.

<<Bonjour, et vous êtes? Si vous êtes un humain, ou un loup un conseil sortez d'ici.C'est une propriété privée.>>

Je regardais l'homme, je restais sur mes gardes. Je me demandais qui était cet homme devant moi. Surement pas un cousin éloigné ou autre membre de la famille.Je réfléchissais dans ma tête pour savoir qui il était.Je vis dans ses bras un chat, depuis quand nous avons un chat?C'est surement nouveau, je demandais en plus

<<Ce chat est à vous?D'où vous le sortez?Et je vous rassure je ne souhaite pas manger votre matou. Maintenant dites moi qui vous êtes, avant que je me fâche.>>

Plus les heures passaient et plus j'avais marre d'attendre que le type se présent.J'aimais bien faire peur même si cela ne marche pas toujours. Je reconnu Alonzo, ce cher frère qui à rejoint le clan Cullen.Je riais ensuite

<<Alors Alonzo que fais tu ici cela faisait longtemps qu'on ne t'a pas vu dans le coin.>>

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C'est pas moi !

Malgré que j'aurai dû être habituée à l'arrivée de nouveaux venus dans la famille, ça me faisait toujours bizarre de devoir supporter quelqu'un de plus, surtout qu'en plus de ça, l'esprit chaleureux et accueillant ce n'était pas vraiment mon fort. Mais alors pas du tout. Moi, je n'étais pas quelqu'un qui liait d'amitié facilement avec les gens et qui devenait très amie avec eux du jour au lendemain, loin de là. Il me fallait du temps pour accorder ma confiance aux gens et il m'arrivait très fréquemment de la reprendre encore plus vite que je ne l'avais accordée. Un seul faux pas suffit pour me faire changer d'avis sur une personne et en général, les personnes ayant mauvais caractère ne s'entendent pas bien avec moi. Comme si je n'avais pas déjà assez de mon sale caractère, s'il fallait en plus que j'endure celui de quelqu'un d'autre..

Néanmoins, cette fois-ci, j'avais fait exception à la règle et j'avais décidé de donner sa chance à Alonzo. Déjà parce qu'il était bien plus âgé que nous et que Carlisle n'allait en général pas chercher des vampires déjà créés, il préférait les transformer lui-même. Par conséquent, cet homme ne devait pas être bien dangereux s'il avait réussi à garder la confiance de mon père adoptif. Je m'étais montrée moins distante avec lui que ce que je faisais en général et rapidement, j'étais devenue son mentor. Vu son âge plutôt avancé, je comprenais que ça soit dur de changer de mode de vie si soudainement et je me chargeais de lui faire son 'éducation' côté bouffe. Je le contrôlais lorsqu'il avait envie de boire du sang humain et je le rapportais au sang animal. D'ailleurs, je n'arrivais pas à comprendre comment il arrivait à bosser en tant que vétérinaire en buvant du sang animal.. M'enfin bon, tant qu'il s'en sortait, moi ça m'allait.

Je passais une main dans mes cheveux et je rentrais à la villa après avoir été chasser et m'être repue d'une biche, allant m'asseoir dans un des canapés du salon tout en ayant entendu du mouvement avant de rentrer. Visiblement, je n'étais pas seule. J'entendis des bruits dans la cuisine mais je ne m'en inquiétais pas le moins du monde, me contentant de hausser les épaules. Alonzo devait sûrement tout retourner pour trouver à manger. Je savais qu'il gardait un seau de popcorns à proximité et c'était sans doute ça qu'il cherchait. Pourquoi est-ce qu'il en voulait, me le demandez surtout pas car je n'en ai foutrement aucune idée. Je fronçais les sourcils en entendant un miaulement pas très loin de moi et me relevait rapidement, cherchant l'origine du bruit. Les miaulements semblaient être lointain et j'entendis la porte d'entrée s'ouvrir, se refermer puis se rouvrir pour finalement laisser apparaître mon nouveau frère avec un chat dans les bras. Malgré qu'au départ, je n'étais pas vraiment portée sur les animaux mise à part pour me nourrir de leur sang, je devais bien avouer que j'avais toujours adoré les chats, même depuis mon vampirisme et que jamais je ne pourrai m'en prendre à ces petits animaux tout mignons. Je regardais le petit animal en souriant, me relevant du canapé à toute vitesse et me dirigeant vers mon nouveau frère. « - Ohh il est mignon ! » lâchais-je avant de caresser rapidement l'animal mais pas trop non plus. Certes, j'adore les chats mais je ne voudrai pas trop l'approcher et risquer de lui faire du mal tout de même mais j'en connaissais une autre que moi qui allait être ravie : Louve, ma petite princesse. Elle qui adorait les animaux, ça allait la ravir. « - T'as pas peur de le ramener ici avec ... » Je n'eus pas le temps de finir ma phrase que mon frère, Edward, débarqua. Je me contentais de lui adresser un petit signe de tête, ne faisant pas plus d'états d'âmes que ça de le voir arriver. Après tout, je ne m'étais jamais vraiment entendue avec lui donc à quoi bon jouer l'égoïste ? Je me contentais de hausser les épaules en repensant à l'histoire des popcorns. « - Et concernant tes machins dégueulasses à manger, c'est pas moi. » me contentais-je de dire en haussant les épaules.

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J'allais bientôt partir à la chasse, j'en avais besoin. Ma soif commençait à se faire sentir de plus en plus et je n'aurais pas voulu blessé Renesmée ou Louve étant donné qu'elles avaient du sang qui circulaient dans leurs veines toutes les deux. C'était quand même tenter le diable que d'avoir rejoint une famille où ma soif était présente constamment, je n'étais vampire que depuis un an et, je n'avais encore jamais gouté de sang humain même si tout mon être me poussait à en prendre. Jusqu'à maintenant j'avais réussi à bien me contrôler, espérons que cela allait durer.

Toute la famille était réunie, à l'exception de Alonzo, le membre le plus récent à nous avoir rejoint, qui lui, se trouvait dans la cuisine à faire on ne sait trop quoi, surtout quand on sait que normalement, un vampire ne se nourrit pas de nourriture humaine. J'avais bien sûr déjà essayé, histoire de voir quel gout ça avait, j'avais testé ça sur un hamburger, la chose que je mangeais tout le temps en étant humain, je m'étais dis que si c'était un truc que j'adorais, ça ne pourrait être que bon, même en étant vampire. Mais j'avais tort, plus dégueulasse, ça n'aurait pas été possible ... Il devait être entrain de chercher ses popcorns que j'avais bien sûr planqué, ouais, on aimait bien se faire des blagues entre nous et j'avoue que j'étais particulièrement fier de la mienne pour le coup.

J'entendis la porte d'entrée s'ouvrir, se fermer puis se rouvrir. De toutes évidences, Alonzo venait de sortir quelque chose de sa voiture, et à en juger par ce que mon odorat et mon ouïe me disait, il s'agissait là d'un chat. Il manquait plus que ça, j'étais pratiquement mort de faim et il ramenait un animal. Je me contrôlai pour ne pas sauter sur ce pauvre animal tandis que le vampire nous demanda de ne pas le manger.

Je fixais l'animal, faisant tout ce que je pouvais pour me contrôler mais j'avais beaucoup de mal, si je m'écoutais, je lui aurais déjà sauté dessus pour le vider son sang. Rosalie lui affirma ne pas avoir touché à ses popcorns alors que je lâchai un léger sourire. Ouais, c'est pas moi non plus, pourquoi est-ce qu'on aurait touché à ça ?

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Aujourd'hui Bella n'avait rien à faire, alors comme elle avait voulue faire l'activité du commun des mortels, c'est à dire strictement rien. il faut avouer qu'en général on commence cela avec une grasse matinée, bon, ne dormant pas c'était plutôt raté, elle devait bien l'avouer mais elle s'en moquait. Au contraire, la vie était tellement plus palpitante sans cette éternelle fatigue pour gâcher un moment ou une envie, pas besoin de remettre à plus tard, faire ce qu'elle veut quand elle le veut et avec ceux qu'elle aime. Bella avait tout de suite adorée cette idée, l'idée de passer l'intégralité de sa vie en liberté, même si avec les Volturis toujours dans les parages, cette liberté avait été dès le départ conditionnel. Mais ce n'était qu'un lointain et mauvais souvenir, tout comme sa peur de voir sa fille mourir, celle-ci allait bientôt avoir 7 ans et sa croissance allait se stopper pour le plus grand bonheur de Bella. Parce qu'elle devait bien l'avouer,elle s'était faite à l'idée d'avoir une fille dont le physique indiquera plus un lien fraternel que maternel entre elles. Et puis il y avait Austin également dans leurs vies maintenant, c'était différent et semblable à la fois. Petit à petit toute la famille Cullen, c'était agrandi, Louve était arrivée puis Alonzo, Bella n'était plus la dernière de la famille et cela lui allait bien, même si elle avait toujours un peu de mal à accueillir les inconnus. Déjà humaine, le domaine social n’était pas con fort, en vampire cela n'avait pas changée. D'ailleurs, peu de choses avaient changés en elle. Elle se sentait plus vivant que jamais. Au final, son programme de la journée avait été assez court, en effet après avoir regardée sa famille partir travailler, la vampire avait ouvert un roman, qu'elle avait rapidement terminée puis après avoir flanée un peu dans le cottage, elle avait réalisée qu'elle s'ennuyait. Enfin surtout qu'elle était seule dans la jolie petite maison vide alors naturellement l'idée de rejoindre la villa des Cullen lui avait sembler être une bonne idée, cela faisait quelques temps qu'elle n'avait pas eu le temps de faire entraîner dans l'un des plans tordus d'Alice et cela lui manquait un peu. Même si elle les avait vu il y avait surement moins de quelques heures, Bella aimait l'ambiance de la villa, il y avait toujours quelqu'un de présent avec qui discuter de tout et de rien, quelqu'un à qui demander des conseils. Bella doit avouer que son premier jour dans la maison des Cullen ne lui avait pas fat ressentir la même chose mais elle s'était habitués rapidement au lieu et elle s'y sentait étonnamment bien plus chez elle que chez Charlie. Suivant le petit chemin qui reliait les deux villas, elle avait rapidement les nombreuses voitures dans l'allé de la maison, elle reconnut la plupart d'entre elle, puisqu'il s'agissait de la voiture cabriolet de Rosalie et de celle d'Alonzo. Deux personnes avec qui les relations avaient plutôt mal commencés,au final tout allait un peu mieux même si elle restait assez méfiante avec ce dernier arrivée dans la famille Cullen. Comme à son habitude,elle poussa la porte d'entrée avant de monté les marches et de les retrouver tous dans la salon. Alors que ses pieds enchaînaient les marches, elle sentait une odeur inédite dans la maison, inédite et tout au moins dangereuse : un chat. Dans une famille qui se nourrit d'animaux, c'est un peu comme mettre un agneau dans une cage à lions, même si les lions qu'ils sont savent se contrôler, c'était tout de même légèrement risqué. Enfin, Bella supposait que si il le faisait c'était bien pour une raison. Sa chevelure brune apparut enfin en haut des marches et elle pu voir toutes les personnes présentent dans la pièce. « Bonjour tout le monde ! » Elle était surprises, non pas de les voir tous là mais de les voir parler de popcorns, c'était de l'inédit en clair ! La vampire ne savait pas ce que les autres ressentaient face à l'animal, de son côté, elle était rassasiée donc ça allait mais elle voyait rapidement que ce n'était pas le cas d'Austin. Elle offrit alors un sourire à Edward, comme-ci elle lui parlait simplement avec les yeux, comme-ci elle lui disait qu'elle rêvait de ses bras mais pas tout de suite, un autre rôle l'attendait. Entrant dans la pièce, elle s'arrêta au côtés d'Austin et posa sa main sur son épaule, en signe de soutien voyant qu'il souffrait à cet instant. « C'est quoi cette histoire de popcorn, j'ai raté un truc ? »

Alonzo E. Cullen a écrit:: Qui à bouffé mes popcorns

J’observais mon nouveau frère avec attention, bon, il plaisantait ou pas ? Malheureusement, je n’avais pas la faculté de lire dans les pensées, cela m’aurais été bien utile en ce moment précis. Finalement, Edward me salua en me disant que cela faisait quelques temps que l’on ne m’avait pas vu dans les environs. Fallait-il qu’il s’achète des lunettes ? Je vivais ici, dans cette villa, depuis maintenant pratiquement un an. Je souris légèrement, un certain amusement sur le visage, signe que j’allais encore lâcher la connerie du siècle, comme à mon habitude. « Edward, je t’ai déjà dit que fumer de l’herbe n’était pas recommandé pour les vampires…j’étais encore là ce matin avant de partir travailler. Puis, je suis ici parce que, enfin je pense, habiter avec vous. Si cela n’est pas le cas, promis je vais dormir dans ton lit. » Je n’ajoutais pas le *avec ta femme*, car cela aurait vraiment été déplacé, puis Isabella était de ma nouvelle famille, je n’aurais jamais de paroles, ni même de pensées déplacées envers elle. A ce moment-là, Rosalie arriva à toute vitesse vers le chat. Si seulement j’avais un accueille si chaleureux, cela m’aurais fait plaisir. Mais bon, n’en demandons pas trop non plus. « Oui, il est mignon et pas comestible. D’ailleurs, tiens prends le. » Je posais le chat dans les bras de ma sœur, j’en avais marre des animaux pour aujourd’hui, j’avais eu un boulot de monstre. Malheureusement, toutes les cages du cabinet étaient occupée, d’où la présence du chat. Ma sœur m’assura que ce n’était pas elle qui avait choppé mes popcorn, étrangement, je la cru sans me poser de questions. « Mouai, je te crois, tu n’es pas du genre à voler mes affaires. Je n’avais pas le choix pour Neige, toutes les cages sont occupées. Tu voulais que je le mette ou, dans mon slip ? Puis, il restera ici juste le temps qu’une cage se libère, deux jours maximum. »

Bon, effectivement, le fait d’amener un chat dans une maison pleine de vampire c’était dangereux. Mais après tous, j’étais vétérinaire pas concierge, je devais m’occuper de mes patients. Je vis Austin qui ne semblait pas aller fort bien. Directement, mon regard croisa le sien et je fis en sorte qu’il comprenne que je souhaitais qu’il ne se jette pas sur le pauvre animal. Il n’avait cas aller chasser, après tous, j’avais le même régime alimentaire que lui depuis moins d’un an, mais j’essayais de pas bouffer mes animaux…même si c’était vraiment difficile. Puis, contrairement à moi, Austin était un nouveau-né. « Austin, tu le touche je te crame tes jolies petites fesses. » Dis-je en allumant une boule de feu dans ma main, un petit sourire amusé sur les lèvres. Bon, j’aurais peut-être du avoir un peu de compassion, mais dès qu’il s’agissait de l’ennuyer et de le taquiner, j’étais le premier et lui aussi. Même si il est vrai, que nous étions beaucoup plus doués pour ennuyer les autres ensembles. Quand il me dit qu’il n’y avait pas touché, étrangement, je ne crus pas à ses paroles. Au moment où je voulu lui répondre, Isabella, une de mes sœurs arriva et se plaça près de Austin. « Oui, je sais les popcorns c’est dégelasse et tous et tous, mais moi ça m’aide à tenir avec ce régime alimentaire…hors, vois-tu, un petit malin à planqué mes popcorns et je suis sûr que c’est ton petit nouveau-né. » C’était bien le genre d’Austin, mais étrangement, je prenais cela avec le sourire et je ne me faisais pas menaçant.

Néanmoins, la flamme dans ma main augmenta et je dis en plongeant mon regard dans le siens. « Il fait chaud tu ne trouves pas ? » Et oui, quand je commençais je ne m’arrêtais pas. Malheureusement, je savais que Austin était plus fort que moi, mais bon, si je me jetais dessus on allait casser le mobilier…Pourtant, ce n’était pas l’envie qui me manquais, une bonne bagarre entre vampire…

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Je me demandais ce qu'il se passait là, je n'y comprenais rien. Alors que j'attendis toujours une réponse de sa part, je vis une de mes soeurs venir, c'était Rosalie. Les machins dégueulasse? De quoi elle parle, même pas deux secondes après, Austin arrive. Ah Austin, ce charmant jeune homme que ma femme a transformé en vampire. Maintenant, il fait partie de la famille Cullen mais surtout j'ai un fils grâce à Bella d'ailleurs.Et soudain, ma femme débarqua aussi, je me demandais si il y aura aussi le reste de la famille, mais non juste Bella, Austin et Rosalie et puis Alonzo. Je vis le chat changer de main, mignon le matou Xd. Je regarde ensuite Alonzo limite qui provoque Austin.

<<Alonzo du calme, Austin ne fera rien à ton gentil petit matou, d'ailleurs personne ne lui fera rien.Nous ne sommes pas cannibale ou je ne sais quoi d'autre. Et pourquoi tu veux le mettre dans une cage? Un chat doit être libre, il doit aller là où il veut, bien sûr en le surveillant pour qu'il ne fasse pas de conneries..>>

Je me mis à mon tour à côté de mon cher fiston, comme pour le protéger. Alonzo peut être un bon gars, mais quand il s'énerve, là vaut mieux partir.J'écoutais ma femme qui parlait à son tour. Je vis son sourire, et je lui fis un autre en retour. Entre elle et moi, il suffisait d'un geste et on se comprenait. C'est comme deux aimants qui se cherchaient depuis des siècles et qui enfin ce sont trouvés. Les popcorns? J'ai jamais gouté à ça moi,je devrais peut être essayer une fois mais quand je ne sais pas. J'écoutais alors ce que Alonzo disait à Bella, mais sa dernière phrase ne me plaisait guère. J'avais l'impression, qu'il draguer ouvertement ma propre femme. Je lui lance un regard de jalousie en y mélangeant un peu de la colère.Je ne supporte pas qu'on drague ma femme et surtout devant moi.

<<Dis donc Alonzo, tu te calme un peu avant que je m'énerve vraiment? Il ne fais pas chaud ici compris?Et laisse Austin en dehors de tout ceci.Il n'a rien fait et j'en suis sûr, je connais mon propre fils. Je sais qu'il aime faire des blague mais quand même, l’accuser de la telle sorte c'est absurde.>>

J'essayais de voir les pensées des autres, mais je ne vis rien. Ah si, je sentis que monsieur Alonzo voulait surement provoquer une bagarre.Je me mis bien entre Alonzo et Bella et notre fils, comme pour les protéger. Je regardais Alonzo et lui dit d'un air, un peu pas provoquant mais un peu.

<<Alonzo, tu touches à Austin ou à ma femme, tu aura affaire à moi. Je te rappel que Bella est marié, alors ne l’oublie pas. Et puis, trouves toi une femme, comme ça tu penseras plus à la mienne.

Et puis si cela se trouve, Alonzo à surement manger ses popcorn et il s'en souvient plus.

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Je vis ensuite arriver Austin et Bella et je me contentais de leur envoyer un petit signe de tête, n'étant pas non plus du genre à leur sauter au cou pour les saluer, loin de là. Je regardais Alonzo d'un air surprit lorsqu'il me refourgua le félin mais je ne me défilais pas pour autant, le tenant dans mes bras tout en le caressant tout en souriant légèrement en l'entendant ronronner. Je relevais la tête en voyant Austin qui regardait l'animal comme si c'était la chose la plus appétissante du monde et je fronçais légèrement les sourcils mais ne rajoutait rien de plus pour le moment, assurant à moi toute seule la sécurité de l'animal de la façon dont je le maintenais dans mes bras. Heureusement que je m'étais nourrie il n'y a pas si longtemps que ça et que j'aimais bien ces petits félins, tiens.

Je ne pus pourtant pas m'empêcher de sourire sarcastiquement au reste de ses paroles, me contentant de hausser les épaules. « - Ben écoutes, tu fourres ce que tu veux dans ton slip, c'est pas moi qui irait vérifier. » me contentais-je de dire avec un sourire moqueur accroché aux lèvres, adorant le taquiner plus que quiconque tandis que j'allais m'asseoir dans un des fauteuils du salon, gardant le dénommé Neige sur les genoux tandis que celui-ci vint se pelotonner contre moi en s'allongeant sur mes genoux. Faut croire que je lui inspirais confiance en tout cas. Si seulement il savait ce que je faisais à tous les autres félins de plus grande taille que lui, je doute qu'il serait venu squatter sur mes genoux m'enfin, peu importe, je n'allais rien lui faire de toute façon à cette pauvre petite bestiole.

Je les écoutais parler sans trop prêter attention à la conversation jusqu'à ce que j'entende Edward s'emporter légèrement suite à une remarque légèrement taquine d'Alonzo et je fronçais de nouveau les sourcils, relevant la tête. « - Toi aussi calmes-toi, Edward. Il n'a rien fait de mal à ce que je sache ? Il plaisantait, il ne comptait pas faire de mal à ton fils. » l'informais-je tout en roulant des yeux, n'ayant pas pu me retenir de défendre le petit nouveau de la famille, sachant que c'était dans son comportement de faire des plaisanteries du genre. Je ne pus néanmoins m'empêcher de dire que la jalousie n'épargnait décidément personne à en voir -ou plutôt entendre- le reste de ses paroles. Franchement, je ne voyais pas d'où Alonzo avait 'dragué' Bella m'enfin bon, je poussais un soupir exaspéré, n'ayant pas envie le moins du monde d'avoir une tempête à la maison aujourd'hui si une bagarre se déclenchait soudainement pour une raison aussi stupide qu'un sachet de popcorn. « - Concernant ton paquet de popcorn, tu ne peux tout simplement pas aller en racheter un nouveau? Ce sera beaucoup plus simple. » lui recommandais-je tout en lui jetant un regard entendu, tentant de calmer les tensions pour aujourd'hui.

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Un chat et du popcorn = Alonzo

Jasper c’était exilé dans un coin de foret non pour se nourrir mais pour être au calme. Pour deux raison, la première étant son nouveau régime alimentaire. En effet, il apprenait à peine à se contrôler et même si maintenant il arrivait à se détendre un peu plus en compagnie d’êtres humains, il avait pris l’habitude d’être distant envers eux… Ne pas tenter le diable… Et la deuxième, celle qui expliquait qu’il n’était pas dans sa chambre, enfin si on pouvait appeler ça, sa chambre vue que 95% de la pièce reflétait Alice, son âme sœur. Bref la seule raison était que son pouvoir pouvait être un véritable fardeau. Supporté toutes ces émotions, parfois forte le rendait parfois irritable lui-même. La famille c’était agrandi, à son plus grand bonheur d’ailleurs il accueillait un nouveau membre en la personne d’Austin qui avait autant de mal que lui à contrôler le sang humain. Le mystère de Bella et de sa résistance étaient donc un peu moins contrariant pour lui.
Il était donc parti s’isoler ne rien ressentir que le calme, et si une biche osait s’aventurer trop près, sa mort l’attendait. Mais la chasse n’était pas son premier point. Il avait eu cours et il lisait ces livres. Bien évidemment il connaissait la plus grande partie mais, entretenir sa mémoire était toujours très important pour Jasper. Il admirait Carlisle de par sa grandeur, et son intelligence, il espérait qu’un jour il pourrait être comme lui. Même si bien sur aucun livre ne pouvait lui procurer plus de plaisir que sa chère Alice. Celle qui l’avait sauvé, aimé, guéri. Il reprit la route doucement, vers la maison des Cullen lorsqu’il ressentait une vague d’émotions. Austin qui avait un appel de sang, Edward qui s’énervait… Il accéléra le pas et arriva dans le salon où il vit la scène, et analyser la plupart des personnes, tout en essayant d’apaiser tout le monde. Je vis Alonzo au milieu du salon en compagnie d’un chat. Je fis la moue. ‘Mais qu’est-ce qu’il fait avec un chat ?’ Il était vétérinaire mais l’amener ici avec Austin et tous ces vampires ce n’était peut-être pas la meilleure des solutions…
Alonzo était un nouveau dans la famille, Jasper c’était très vite attaché à lui, le considérant aujourd’hui comme son frère, comme un véritable frère. Solitaire mais expérimenté, il avait été appelé par Carlisle ce qui le rendait des plus intéressants. Jasper s’était tout de suite lié d’amitié avec Alonzo. Il avait trouvé quelqu’un de proche, quelqu’un qui comprenait et qui le comprenait. Et puis il faut dire qu’il le fait souvent rire. Il n’avait entendu que la dernière phrase de sa sœur jumelle, enfin ce qu’il faisait croire, bien qu’il la considère comme telle. Un paquet de popcorn ? Tout ce remue-ménage pour du popcorn ? Alonzo tout craché ça ! Il sourit et en s’adressant à ce dernier et en faisant un petit signe de tête vers le chat « Tu sais, on a une cuisine mais on y mange pas réellement… » Sur le ton de la rigolade. La seule fois où on avait tenté de cuisiner c’était à la première visite de Bella. Cela avait mal fini. Jasper ne pipa mot sur les popcorns attendant de voir si les tensions allaient se baisser d’elle-même.

fiche par holliday, sur bazzart ou artsoul. Reproduction complète ou partielle interdite

Encore faudrait-il que tes flammes arrivent à m'atteindre. Avais-je répondu en souriant à la 'menace' d'Alonzo, c'est vrai, j'étais capable de créer des boucliers donc bon, une flamme ne me faisait pas peur, et Alonzo encore moins. Bella arriva dans la pièce, ne comprenant pas vraiment ce qui était entrain de se passer. C'est vrai quoi, des vampires qui se mettent à parler de nourriture humaine, ça devient grave ! Celle qui m'avait offert l'immortalité se posta à mes côtés, mettant sa main sur mon épaule comme pour me soutenir, me calmer face à cette tentation de boire du sang qui devenait de plus en plus forte. Il avait fallu que l'animal arrive au moment où je m'apprêtais à aller chasser, timing parfait entre Alonzo et moi, comme d'habitude. Me contentant de sourire je ne relevais pas la remarque insinuant que c'était moi qui avait planqué son popcorns, en effet, je ne l'avais pas planqué mais bel et bien jeté, loin, très loin. Un champ de force enroba mon corps tandis que la flamme dans la main du vampire augmenta, me demandant si je trouvais qu'il faisait chaud. Pas assez à mon goût, fais encore monter un peu la température. S'il me sautait dessus, le champ de force aurait l'effet d'un mur sur lui …

La tension semblait monter entre Edward et Alonzo, je ne comprenais pas pourquoi, ce n'était qu'une blague tout ça et Rosalie le lui rappela. Mon père adoptif c'était mis entre Bella, Alonzo et moi, comme pour prévenir à une éventuelle attaque mais comme je le disais, Alonzo rigolait, comme il aimait bien le faire et en aucun cas il ne ferait du mal à qui que ce soit. Suite à la remarque de Rosalie concernant le fait d'aller acheter du popcorn, je fis un geste de la main. Voilà enfin une parole censé ! Tu vas à la boutique, tu en rachètes, tu rentres et comme ça, je recommencerais le procédé. J'avais lâchai un rire tout en prononçant ses mots. J'avais clairement avoué mon 'crime' mais j'aimais trop embêter Alonzo pour le lui cacher plus longtemps. Jasper venait d'arriver dans la pièce et déjà, je sentais ma soif s'apaiser un peu, sûrement grâce à lui.

You are family

Bella était entrée naturellement dans le salon, saluant sa famille et se postant aux côtés de son fils pour le soutenir. Cela faisait quelques temps maintenant que Alonzo était dans la famille mais Bella ne réussissait pas à le cerner ou simplement à le comprendre, il était étrange. Elle comprenait clairement qu'il était bien plus âgée que la plupart des Cullen, qu'il avait surement plus d'expérience dans le sens alimentaire ou voyages que la famille plutôt simple que formait les vampires d'Olympic mais elle avait vraiment du mal avec son manque de savoir vivre. Il n'avait peut-être pas l'habitude de vivre en famille, mais rapporté un chat ici était vraiment du suicide, enfin pour le chat. Bella savait a quel point son protégé avait du mal à se contrôler et elle trouvait un peu que cela était un manque de respect que d'introduire une telle tentation dans les murs blancs du salon. Mais elle ne disait rien, elle se disait qu'il y avait surement une raison à cela. Et elle avait raison, Rosalie semblait ravie de voir le chat, bon elle aurait toute autant pu passer directement dans le cabinet du jeune homme mais bref. Bella avait fini par entendre parler d'une histoire de popcorn, enfin elle l'avait entendu brièvement dans les escaliers mais la vampire pensait que c'était une blague de son ouïe alors elle demandait simplement ce qu'elle avait raté. un bon moyen de savoir si les popcorns sortaient de son imagination ou pas.

Comme à son habitude, Alonzo jouait avec les mots et je ne disais rien de spéciale. Austin, coupable ? Bella devait l'avouer, cela ne le surprendrait pas vraiment, elle regarda alors le jeune homme cherchant une réponse dans son regard mais rien, puis rapidement Edward s'en était mêlé. Laissant sa jalousie s'en mêlé et prendre une dimension démesurée dans cette petite conversation. Elle devait bien l'avouer, Bella n'avait pas compris la réaction d'Edward sur le coup même si elle était touché de le voir agir ainsi quelle femme ne le serait pas ? Quoi qu'il en soit, cela n'allait pas passer simplement et elle le savait, lâchant l'épaule d'Austin, elle s'avança aux côtés des deux jeunes hommes. « Edward, tout vas bien, ok. » La brune lui souriait avant d'entendre les aveux d'Austin ce qui l'a fit sourire.

••• Famille Cullen •••

Depuis quelques mois déjà, les Cullen ont accueilli de nouveaux membres dans la famille, tout d'abord Alonzo, ce jeune homme est bien plus âgé que tous les membres de la famille réunies, puis après il y a eu Austin, le fils adoptif de Edward & Bella, que Bella à elle même transformé, quoi de mieux de voir cette famille heureuse, uni par l'amour.

Les jours passent, mais ne se ressemble pas !! C'est la pure vérité, Esmée est parfois seule dans cette grande villa, les enfants sont soit à la chasse, certains sont en cours et puis il y a ceux qui travaillent. Esmée aussi travaille, mais pas toute la journée. Le matin elle part chasser avec son mari Carlisle et les enfants enfin si certains veulent suivre le pas, sinon c'est entre amoureux que ce passe la chasse. Puis après cette partie de chasse fait, c'est parti pour une nouvelle journée de travail ou de tâches ménagère, c'est vrai que Esmée quand elle ne travaille pas, elle s'occupe de la maison pendant qu'elle est vide.

Aujourd'hui c'était un peu la journée repos, oui effectivement les enfants étaient soit à l'école, soit dehors, soit au travail pour d'autre. Pour Esmée c'était le grand ménage dans toute la maison, avec la vitesse Vampirique cela ne devait pas poser de problèmes. Enfin bon le ménage finie, il était temps de faire à manger pour le dernier garçon, oui Alonzo, celui-ci ne supportait pas trop encore son régime alimentaire, alors Esmée se mit au fourneau pour faire à manger, au cas où quand il rentre s'il a faim. Esmée ensuite ce reposa, les enfants ne rentraient pas entre midi et deux, certain oui et certains non, mais pas tous ! C'est en début d'après-midi que Esmée décida d'aller faire les courses, pour Alonzo, car c'est un gros mangeur celui là ! Elle marqua sur un papier tout ce dont elle avait besoin pour pouvoir faire ses courses.Esmée savait bien que Alonzo avait achetés des pop corn dernièrement, celle-ci les avait déplacés, mais en fouillant de partout, elle ne les avait pas trouvés, Esmée le marqua sur le papier. Avec sa petite liste, elle alla direction sa voiture pour pouvoir aller au centre-ville pour faire ses courses. Tout en traînant dans le magasin, elle prit des pop corn, des pâtes, des chips, enfin de tout pour que Alonzo se sentent bien, car c'est un ancien Vampire Sanguinaire donc ces bêtes-là, ne s'adapte pas de suite au changement alimentaire.

Une fois les courses terminer, elle passa faire un peu de shopping, cela ne lui fera pas de mal, après tout et puis elle voulait s'acheter de nouveau habit. Bref une fois le shopping terminé, elle prit sa voiture direction la maison, il était tard enfin pas trop, les enfants devaient être déjà à la maison. En ce garant dans le garage, elle vida le coffre des courses qu'elle venait de faire et tout en montant les escaliers, elle entendait les enfants se disputer ou parler, elle ne savait pas trop. Elle ouvrit la porte les mains prises par les sacs, elle fit un pas dans la maison et plus un bruit, elle sourit à tout le monde

Bonsoir tout le monde ! Qu'es qui ce passe ici ?

Elle regarda tout le monde, elle commença à déballer les courses, elle rangea toutes les courses dans les placards, une fois tout ça fait, elle alla ranger ses affaires dans sa chambre puis elle redescendue à une vitesse vampirique et elle alla près de Alonzo et dit :

Je t'ai acheté pleins de choses pour toi, enfin tout ce que tu aimes, j'ai tout rangé d'accord ?

Esmée regarda ses enfants, ils avaient l'air un peu tendu, quelque chose se passer, mais quoi ? Puis elle remarqua que Rosalie avait un petit chat sur elle, Esmée alla la voir et lui fit un bisou sur le front et puis elle se pencha vers le chat et sourit avant de dire :

Comme il est trop mignon ce petit chaton, mais à qui il appartient ?

Qui à bouffé mes popcorns

Super, Edward qui s’emballe sur moi, ce n’était vraiment pas ma journée. Il avait quoi lui aujourd’hui à tous prendre mal ? Puis, franchement, s’il pensait son fils innocent c’était qu’il ne le connaissait pas encore assez bien. Même moi je savais qu’Austin était capable d’avoir caché mes popcorns, ou pire, de les avoirs jetés ! Edward, je suis très calme et sérieux, je suis vétérinaire donc quand un chat doit rester dans le cabinet je le mets dans une cage. Je n’ai pas envie de me retrouver avec des chiens et des chats en liberté dans le cabinet. » Ben, être vétérinaire ce n’était pas du tout un travail facile, surtout pour un vampire. Puis, si je commençais à laisser les chats malades se mêler aux chiens ou aux lapins ou que sais-je encore, je n’étais pas sortis de l’auberge. Je venais donc de commencer à taquiner Austin, lui demandant si il ne faisait pas trop chaud, une flamme dans la main. Bien sûr, il avait déclenché son bouclier, mais cela ne m’empêcherais pas de lui lancer dessus juste pour le plaisir. Je regardais ma sœur avec amusement quand elle parla de mon slip. « Rosalie, petit coquine va je ne te savais pas ainsi. » Une fois encore je faisais de l’humour, mais je savais que ma sœur et mentor en était consciente. Malheureusement, ce n’était pas le cas de tout le monde. Austin me proposa d’augmenter la température, ce que je fis avec plaisir. La boule de feu tripla de volume quand mon frère, Jasper, arriva et me fit une remarque sur la cuisine. « Parles pour toi frangin, moi ça m’aide à me contrôler de bouffer des trucs dégelasses. » Ce qui était totalement vrai d’ailleurs.

Edward se plaça alors près de Austin et d’Isabella, mais il avait quoi à pourrir l’ambiance aujourd’hui lui ! Néanmoins, je pouffais de rire à sa remarque. Apparemment, il ne connaissait pas assez bien son fils et je ne me gênais pas pour le lui faire remarquer. « De un je suis très calme, je te l’ai déjà dit Edward, c’est toi qui t’emballe. Puis, tu ne connais pas assez bien ton fils apparemment, il n’est pas du genre à être un saint. » C’est alors qu’il me fit une remarque très choquante qui me laissa sans voix. Quoi, il insinuait que je draguais Isabella, il avait bu trop de sang ou quoi ? Cette fois mon honneur avait été piqué à vif et mon regard se fit colérique. Faisant disparaitre la boule de feu, je dis avec arrogance et froideur. « Tu insinue quoi par-là Edward ! Sérieusement, tu cherches à me provoquer en disant que je coure après ta femme. Un conseil, gardes tes accusations pour toi, surtout si elles sont méprisables ainsi. » Oui, je voulais bien être gentil, mais là Edward avait poussé le bouchon un peu loin. Heureusement, Isabella se mit entre nous deux, disant à sa mari que tout allait bien. Néanmoins, à l’intérieur de moi je bouillonnais furieusement. Comment osait-il m’accuser d’une chose pareille ! Je ne faisais que taquiner Austin, tout le monde en était conscient sauf lui et en plus de ça, il m’accusait de draguer Isabella alors que j’étais amoureux d’une humaine et il le savait très bien ! Me sortant de ma rêverie, Rosalie me proposa d’aller en acheter au magasin et par la même occasion, Austin avoua son crime.

Ni une, ni deux, j’envoyais valser une boule de feu au niveau de son visage. Bon, il avait son bouclier, je savais donc que cela n’allait pas l’atteindre et je n’avais pas fait cela méchamment. « Traitre, insecte, suppos de Satan. Tu vas payer pour ce crime absolu. » Une fois de plus, le Alonzo légèrement taré revient à la rescousse pour tenter de calmer mes ardeurs envers Edward. Ma mère adoptive arriva alors, souriant, elle approcha et me dit qu’elle avait acheté plusieurs trucs pour moi. « D’accord, merci Esmée. Pour ce qui est des choses je récapitule. Austin à jeter mes popcorns, Edward pense que je drague sa femme et il menace de devenir méchant….j’en tremble déjà. » Elle se dirigea alors vers Neige et Rosalie, au moins, le chat était bien accueilli par la plupart de la famille. « C’est un patient, il appartient à Madame Leedermans, j’avais plus de place dans le cabinet, toutes les cages sont prises j’ai dû le ramener ici. » Me tournant de nouveau vers Austin, je le montrais du doigt et dis avec amusement. « Viens te battre sans pouvoir Satan. » *Je vais te refaire le portrais* J’avais pensé cela exprès pour énerver un peux plus Edward qui avait osé m’accuser d’une chose affreuse. Entre lui et moi la tension était bien palpable, car à présent, je ne daignais même plus le regarder. Ce qui ma foi, était tout à fait normale après ce qu’il avait osé dire.

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C'est Bagdad chez les Cullen !

J'avais été de garde cette nuit, appelé en plein milieu de ma lecture. Je vous rappelle que les vampires ne dorment pas dans des cercueils au fond d'une cave malodorante. Une intervention à faire, où mes nerfs avaient été mis à l'épreuve devant autant de sang, malgré mes longues années d'abstinence à boire ce liquide rougeâtre. J'avais beau être végétarien depuis le début de ma vie en tant que créature de la nuit, le sang humain titillait toujours aussi bien mes narines délicates. C'est en buvant un café sans aucun goût que je réfléchissais à tout ça, assis dans mon bureau à l'hôpital de Forks. Une petite ville tranquille et à l'abri du peu de rayons de soleil qui passaient par là. Une ville qui avait été le théâtre de l'amour passionnel entre Isabella et mon fils, Edward. Qui avait vu arriver le clan royal des Volturi, contre lequel nous nous sommes battus pour la garder près de nous. Désormais le clan que j'ai réussi à créer s'est encore agrandi, peu à peu. Avec l'arrivée du deuxième enfant de Bella, Austin. De la petite fille de Rosalie et Emmett, Louve. Du volcanique Alonzo, qui a trouvé un foyer stable et plutôt joyeux chez nous. Nous avons du agrandir la maison pour pouvoir accueillir tout ce beau monde. Mais je suis rempli de joie à l'idée d'avoir une grande famille, diverse, aimante. Et c'est avec le sourire que je passai voir l'état de mes patients, les saluant chaleusement et m'enquiérant de leur santé plus ou moins fragile. J'aimais beaucoup ce travail de médecin, je me sentais tellement humain, tellement normal. Pas aussi différent que nous ne l'étions véritablement.

Il était l'heure de rentrer et j'étais enfin arrivé sur le parking de l'hôpital, réservé au personnel. J'attrapai les clés de ma Mercedes grise avant d'entrer dans la luxueuse voiture. Autant profiter de l'argent que j'ai amassé pour la famille depuis presque deux-cent ans. J'étais encore le plus raissonable, à côté d'Alice ou d'Edward. Ils étaient plutôt dans la catégorie "fous du volant" avec les excès de vitesse en surnombre. Après avoir tranquillement roulé sous les nuages gris qui parsemaient le ciel de la ville, j'arrivais dans la route écorchée qui menait à notre énorme maison moderne, sophistiquée. Et à peine avais-je garé la voiture que je voyais de l'agitation en bas. Comme d'habitude. Je passai la porte d'entrée avant de voir une boule de feu jaillir sur Austin, qui fut protégé grâce à son bouclier. « Misère... » Quelques pas supplémentaires me firent me déplacer jusqu'au salon, témoin du spectacle qui devait se dérouler depuis un moment déjà. « Traitre, insecte, suppos de Satan. Tu vas payer pour ce crime absolu. » Il semblait y avoir une raison plus profonde que d'autres. Alonzo et Edward se regardaient chiens de fayence, s'envoyant des répliques acides. Je toussotais, histoire de me faire remarquer, même si la plupart des vampires ici présents devaient avoir senti ma présence dès mon entrée. « Bonjour les enfants, je voudrais faire une annonce.. » commençai-je d'une voix claire. « Que ceux qui semblent avoir l'âge mental d'un enfant de cinq ans me retrouvent dans mon cabinet demain matin à la première heure. En attendant vous êtes dans une maison et ce n'est pas un terrain de jeux. Alors je voudrais savoir pourquoi vous semblez sur le point de vous battre ? » Puis j'aperçus la chevelure de ma petite femme adorée que j'allais embrasser sur la joue. « Bonjour toi. Tu peux me dire ce qu'il se passe ? »
© code de boo. gif de tumblr.

C'est pas bientôt fini ce vacarme?!
Ft. Les Cullen

J’étais dans ma chambre en train de travailler sur mon projet d’arts appliqués. Je devais réaliser une planche de divers croquis de vêtements, ces derniers devant servir à réaliser des costumes pour des comédiens que l’on avait rencontrés en classe la semaine dernière. C’était une tragédie, les habits devaient donc être antiques, cependant, il fallait y ajouter notre petite touche moderne. J’étais toute excitée à l’idée de voir ces comédiens porter mes futurs vêtements sur scène. Malheureusement pour moi, aucune vision ne venait m’aider à dessiner ces vêtements et je commençais à désespérer, attendant en vain que l’inspiration me gagne. Jasper quant à lui, s’était réfugié dans la forêt afin de lire un livre. Je m’étais installée sur notre lit déballant toutes mes affaires, feuilles, crayons, gomme, magazines, ordinateur, livres de première année d’arts appliqués, livre de deuxième année, autant dire que notre chambre s’était transformée en un réel atelier de styliste!
Soudain, j’eu une vision : dans quelques minutes, une mini dispute éclaterait un étage plus bas, entre Edward et Alonzo. Je soupirai, voyant très bien que cela m’empêcherai davantage de me concentrer et de trouver de bonnes idées. J’essayai cependant de profiter de chaque seconde qu’il me restait avant le moment M, mettant tout mon esprit et toute ma force dans ce projet de design. Rien ne vint cependant, et j’entendis alors Edward qui s’exclamait :
Alonzo, tu touches à Austin ou à ma femme, tu aura affaire à moi. Je te rappel que Bella est marié, alors ne l’oublie pas. Et puis, trouves toi une femme, comme ça tu penseras plus à la mienne.
Je levai les yeux au ciel, soupirai de lassitude et déclarai pour moi seule :

« Allez, ça commence ! »
Je fermai brusquement mon livre scolaire, sautai de mon lit et descendis les marches des escaliers quatre à quatre, arrivant dans le salon.

« Est-ce que l’un de vous compte se taire bientôt ? Il y en a qui bossent dans cette maison ! » dis-je à l’assemblée, exaspérée.

Puis, je me dirigeai vers Edward et lui posai une main sur l’épaule.

« Tu devrais aller chasser, tu me sembles un peu trop sur les nerfs. » lui dis-je d’un air sérieux et protecteur.

Puis, soudain, une vague de chaleur envahit mon corps et tout le stress que j’éprouvai alors jusqu’à là s’évanoui. A la place, une sensation de calme pris possession de mon corps, et je me tournai, le sourire jusqu’aux oreilles, regardant Jasper qui venait d’arriver dans la pièce. Je me dirigeai vers lui en sautillant gracieusement, avant de lui sauter au cou et de lui faire une bise sur la joue.

« Notre sauveur est enfin arrivé. » dis-je en le regardant sérieusement et tendrement dans les yeux, les deux mains passées autour de son cou.

[...]

Puis, quelques minutes plus tard, Esmée entra dans la maison, un tas de sac entre les mains. S'inquiètant de la situation, elle nous demanda ce qu'il se passait ici.
C'est alors que Alonzo envoya sa boule de feu en direction d'Austin, qui parvint à la parer grâce à son bouclier. La situation dégénérait en jeu dangereux, dont Emmett aurait sûrement pris part s'il avait été là.
C'est alors que Carlisle pénétra à son tour dans la maison, calmant le jeu. Il avait quelque chose d'important à nous dire demain matin, je ne pu m'empêcher d'arquer un sourcil, me demandant ce qu'il pouvait bien se passer. Après tout, je n'avais eu aucune vision concernant cela...

Un chat et du popcorn = Alonzo

« Parles pour toi frangin, moi ça m’aide à me contrôler de bouffer des trucs dégelasses. » Jasper laisse échapper un sourire. Il y avait certains tics comme le fait de manger malgré tout que Jasper n’avait jamais essayés. Mais après tout c’était peut-être une solution, se raccrocher à son existence humaine et à l’habitude de celle-ci. Jasper essaya d’apaiser un peu tout le monde, mais ce tas de phéromones masculines étaient un peu trop dur à contrôler. Alonzo rien qu’à lui demandait toute une concentration pour Jasper. Celui-ci tout en continuant sa prise de tête habituel avec Edward, il posa le chat par terre. Jasper n’était pas du genre à s’immiscer dans les bagarres sauf si cela pouvait devenir dangereux pour quelqu’un. Il lança un regard vers le haut, où son Alice était en train de travailler. Mais celle-ci ne tarda pas à arriver. Si discrète comme à son habitude. Jasper l’avait laissé travailler tranquillement dans leurs chambres pour ces études, qui il fallait le dire la passionnait. « Est-ce que l’un de vous compte se taire bientôt ? Il y en a qui bossent dans cette maison ! » Jasper sourit, le bonheur l’habitat à nouveau, comme à chaque fois que ces yeux se posaient sur son jolie petit lutin. Elle s’approcha d’Edward et tenta de le résonner comme à son habitude. Ils étaient tout deux aussi proches que des frères et sœurs. « Notre sauveur est enfin arrivé. » dit-elle en passant ses bras autour de ses coups. Il plongea ses yeux dans les siens et tout en continuant à l’apaiser comme il le pouvait, plus rien ne comptait pour lui quand elle était là. Il posa ses mains autour de sa taille et lui fit son petit sourire en coin : « C’est toi la sauveuse ici. Désolé qu’ils t’aient dérangé » Dit-il en ne prêtant plus qu’attention à celle-ci. Il reprit tout de même la réalité en regardant la scène qui se passait, Jasper avait une mauvaise impression. Tout ça pour un popcorn…
Mauvaise impression il avait eu raison Alonzo fit bondir une boule de feu de ses mains et la lança en direction de Austin. Jasper se crispa et se prépara à toutes situations, prêt à intervenir, même si il ne doutait pas que face à Alonzo il ne tiendrait pas longtemps. Même si il ne voulait que l’empêcher de faire du mal. Il ne put s’empêcher de se mettre un peu à l’avant d’Alice, c’était la première qu’il protègerait si il avait eu un problème.
Heureusement Carlisle arrive et essaya de calmer la situation. C’était le chef du clan et jasper le respectait comme un père. Jasper se détendit un peu à l’arrivée de celui-ci. Il avait toujours su faire respecter la paix et si quelqu’un savait se mesurer à Alonzo c’était bien lui. Esmée s’en approcha, des âmes sœurs comme lui et Alice, aimante comme à son habitude, et celui-ci lui demanda un résumé de la situation. Un résumé ? Un tas de phéromones mâles très difficiles à contenir.

fiche par holliday, sur bazzart ou artsoul. Reproduction complète ou partielle interdite

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