Enora ◮ Mon père il disait : Dans la vie, y’a pas d’grands y’a pas d’petits. La bonne longueur pour les jambes, c’est quand les pieds touchent bien par terre.

Enora-Autumn Love Switch

Enora ◮ Mon père il disait : Dans la vie, y’a pas d’grands y’a pas d’petits. La bonne longueur pour les jambes, c’est quand les pieds touchent bien par terre. 968938profil1

Carte d'identité

✎ C'est à Boston, le 29 avril 1612 que je suis née. J'ai 18 years d'apparence, et 382 ans en réalité et je suis un vampire. Je suis célibataire et tueuse à gage. On me dit souvent que je ressemble à Mila Kunis.

Questionnaire

Pour les vampires et les hybrides

✎ Depuis combien de temps es-tu un vampire ? : A peu près.. 400 ans. Je ne suis pas à quelque décennies près, désormais.

✎ Que pense tu de cette condition ? Voudrais tu reprendre une vie humaine : Je ne reviendrais en arrière pour tout l'or du monde. Vampire est ma nature, être une insignifiante petite humaine ne m'attire guère. C'est tellement vulnérable, tellement.. Pitoyable.

✎ Les vampires ont tous une particularité, qu'elle est la tienne ? : Je suis capable de matérialiser vos pires cauchemars, du moins, donner l'illusion qu'ils existent.

✎ Quel est ton régime alimentaire ? : Je me nourris exclusivement de sang humain. Chasser est tellement excitant, voir la peur dans les yeux de sa victime, la torturer avant de l'achever sans pitié. Je fais partit de cette catégorie de vampire que l'ont dit : Traqueur. Quand je veux quelqu'un, je l'ai. Quoi qu'il se passe.

✎ De quel clan fais-tu partie ? Aimes-tu celui-ci ? : : Je ne fais partie d'aucun clan. J'aime vivre en solitaire et dépendre de personne.

✎ Si une seconde fois, les Volturis tentaient de s'en prendre aux Cullens, les aiderais-tu ? : Sans aucune hésitation. Je ne sais pas d'où leur vient cette idée de végétarisme chez un vampire. Nous sommes des créatures qui se nourrissent de sang humain, comme les escargots qui mangent des feuilles ou je sais pas trop quoi. BREF, je trouve que leur régime alimentaire est simplement une honte à notre race.

Derrière l'écran

OUESH OUESH CANNE A PECHE ! Moi, c'est Lou-Anne, mais comme ce prénom est moche bah appelez moi Loune. MA meilleure amie est sur le forum, j'ai nommé : ADAM L. BAKER, ou Pauline, ou la meuf la plus géniale du monde. On a même pas fait exprès de s'inscrire sur le même forum, la sse-cla ! Bref, j'ai 14 ans, mais dans exactement 9 jours j'en aurais 15, SUSU *-* J'ai lu les livres jusqu'au 3, mon préféré pour le moment reste le premier. J'ai vu tout les films, sauf le dernier *-* Ensuite, j'sais pas trop quoi dire. Au pire, si je dis tout, c'est pas marrant, après on aura plus rien à se dire sur la CB ! LES ONE DIRECTION DOMINERONS LE MONDE.

My story

Boston. Ville de mon désespoir, ville de ma souffrance. C'est là-bas que je naquis en 1612, une nuit pluvieuse et chaotique, comme celles que l'ont vois dans les films d'horreurs quand une blondasse sans cervelle va se faire achever par un assassin " sans pitié ". Cruel et sans pitié, c'est comme cela que se qualifient les jeunes de nos jours, ces pauvres humains qui se sentent invincibles, intouchables. Comme si persécuter plus petit que soi sans en avoir un remord était la chose la plus cruelle que l'ont puisse faire. Si seulement ils savaient.

Enfance.

Je n'ai jamais été très sociable. De nature maladroite et susceptible, je passais mon temps à trébucher et à subir les moqueries des personnes m'entourant. Le prenant mal, je me réfugiais en pleurant dans les jupons de ma mère, qui m'ordonnais sévèrement de cesser ces chuintement, au risque de lui faire trop honte. Quelle honte d'avoir une petite fille de 6 ans qui se sent constamment blessée et persécutée. J'espérais obtenir du réconfort près de mes parents, mais ceux ci ne faisaient que m'enfoncer et m'ignorant, me laissant seule dans mon coin jusqu'à ce que je cesse de pleurer, bien que mon coeur se meurt. J'espérais aussi qu'un jour, je serais assez forte pour me venger de tout le mal que l'on me faisait. Je ne mangeais plus, je ne parlais plus. Les autres me trouvaient bizarre, ils me disaient que je ne servais à rien, juste à noyer le sol de mes larmes. J'étais constamment rejeté, et lorsque je tentais de remonter le nez hors de l'eau, on me faisait couler aussi sec. Je n'ai jamais compris cet acharnement, et je ne le comprendrais surement jamais. Au fil du temps, j'étais emplie de haine et de rage, cependant, j'étais trop faible pour répondre, pour me battre. Je perdais l'appétit, le gout de la vie, tandis que je n'étais qu'une enfant. Comme c'est désolant d'être ainsi dégoutée d'une si belle aventure qui est la vie à à peine 8 ans d'existence. Plus le temps passait, plus j'avais envie de mourir. Je trouvais le monde qui m'entourais étrange, repoussant. Le bonheur me paressait inaccessible et je perdis toute confiance en moi. J'étais devenue ce que l'on appelle une victime. On me maltraitais, on m'insultais, sans aucune raison apparente. Et je ne bronchais pas. Je ne disais rien. Je ne disais jamais rien.

Le début d'une nouvelle vie.

J'étais sans cesse tourmentée par les autres. J'ai vraiment l'impression.. Que j'étais faible. Après tout, je n'étais qu'une humaine. Puis je l'ai connu, lui. Charles. Un grand brun, aux yeux d'un bleu océan. La première fois que mon regard croisa le sien, mon coeur faisait des bon. Je pouvais sentir mon pou accélérer, je voyais bien à travers de son regard destructeur que mes yeux pétillaient en sa présence. C'est la première fois que je ressentais ça, j'étais comme envoutée par cet être que je trouvais si parfait. Ce jeune homme était doux, calme et sincère avec moi; ce fut le seul humain qui eu réussis à me faire ressentir autre sentiment que la haine, la colère et la tristesse. Il fut le seul à être aussi gentil et attentionné envers ma personne. Je goutais au bonheur, enfin, il donnait un sens à ma vie. Je me demandais pourquoi j'existais, et il était ma raison d'être. Un simple geste de sa part suffisait à affolé mon coeur. On restait constamment ensemble, impossible pour moi de décrocher mon regard du sien. Son élégance et sa bonté me rendait folle, je ne pouvais pas rester tranquille en sa compagnie. Et si une jeune demoiselle posait son regard sur mon bellâtre; je ne pouvais m'empêcher de ressentir une immense jalousie, et de fuir. D'aller me cacher je ne sais où pour éviter d'hurler sur tout le monde. Pour moi, il était inconcevable qu'il s'intéresse à une autre que moi. Il m'était destiné et je le savais. Mes sentiments étant partager, il finissait toujours par revenir, s'excuser et m'assurer qu'il n'y a aucune autre femme qui compte autant que moi. J'étais heureuse, pour la première fois de ma vie. A mes 18 ans, je quittais la demeure familiale pour vivre avec lui. Je n'ai jamais supporter mes parents, eux qui me traitent comme une m****, préférant s'intéresser à ma chère soeur, Appoline. Elle était totalement mon inverse, on faisait un parfait contraste. Elle, c'était la jolie blonde modèle, que tout le monde adorait. Toujours prête à aider tout le monde. Mais il n'y a que moi, qui la connait réellement. C'est une peste, qui ne pense qu'à sa petite personne, qui ne connait ni souffrance ni colère, ayant été pourrie gâtée jusqu'à l'os durant toute son existence. Je me moque de savoir ce qui lui ai arriver suite à mon départ avec Charles, ainsi que le destin de mes parents. Bon vent, je m'en fous d'eux comme ils s'en foutent de moi. J'ai toujours été leur honte, et bien voilà, je suis partie. Pour l’éternité.

Transformation.

Alors que je filai le parfait amour, un amour presque impossible, je ne fréquentais plus aucune autre personne que Charles. Je me sentais bien qu'avec lui, et je vivais très bien sans amis. J'ai toujours vécu sans amis, en fait. Nous sortions chaque soir, passant d'excellentes soirées. Lui comme moi, étions rejeter par nos proches. On se comprenaient, comme personne ne pouvait nous comprendre. Un soir, qui me paraissait des plus banales, dans les rues sombres de Boston, main dans la main, nous arpentions la ville sans nous soucier de ces personnes qui nous suivaient depuis plus d'une demie heure, trop occupé à raconter les moindres détails de notre pitoyable existence. Il faut avouer que Charles était issue d'une famille de bourgeois, possédant assez d'argent pour m'entretenir, et ces jeunes hommes le savaient très bien. Sans savoir ce qu'il se passe, trois hommes bondient sur nous. L'un d'eux poignarde Charles, qui meurt sur le coup, et tente de m'achever également. J'eus réflexe qui me sauva la vie, même si j'aurais mieux fait de mourir : Il me planta le couteau sans atteindre un organe vital, et je fis semblant de tomber raide morte. Il saisit l'argent de mon amour de défunt, puis ils prirent la fuite. A l'agonie dans une ruelle déserte, je rampais désespérément vers Charles, cherchant un signe de vie de sa part. Mais il était trop tard, et j'en étais consciente. Je saisis sa main, et me laissais aller vers le doux chemin du paradis. Je tombais dans un profond coma, espérant ne jamais en revenir.
Je finis malheureusement à me réveiller. Dans une pièce sombre. J'hurlais soudainement de douleur, ne comprenant pas ce qu'il se passe. Personne aux alentours, je ne savais pas où j'étais, et ce qui m'arrivait. Je criais de plus belle, la douleur s'empara de moi. Une souffrance intense parcouru mon corps, j'eus l'impression de brûler vif. Après trois jours où je fus incapable de bouger, coincée dans cette pièce close, sans aucune fenêtre, je finis par réussir à me lever. Un miroir se tenait au centre de la pièce, et instinctivement, je m'en approcha.. Mon propre reflet me terrifia. J'étais devenue.. Etrangement pâle, mes yeux étaient d'un rouge flamboyant, presque fascinant. Mes dents étaient incroyablement blanches, alignées, parfaites. Mes propres yeux m'hypnotisaient. Pas la suite, je découvris mes nouveaux talents : Courir à une vitesse folle, une force incroyable, un pouvoir de séduction dépassant toutes limites, et la peau qui brille au soleil. Comme si j'étais une énorme boule à facette. Et puis, un autre talent, un don : Je suis capable de matérialiser les pires cauchemars. Vous donner l'illusion qu'ils existent, histoire de vous terroriser. Je réalisa qu'il y avait un avantage à être en vie, et qui plus est, être invincible. J'allais pouvoir venger mon tendre amour. Suite à cette révélation, je m'aperçus que j'étais beaucoup mieux en tant que vampire qu'en humaine. Je n'avais plus peur de rien, pour la première fois je me sentais puissante, supérieure. Certainement car je le suis. Bref, je retrouvais les trois ordures qui avaient volé la vie à Charles, et les acheva sans pitié. Le gout du sang est fort plaisant. Voir sa victime vous supplier de l'épargner, voir leurs visages se tordent de douleur et enfin, les voir étendu, inerte sur le sol, tandis que vous avez étancher votre soif. Rien de plus plaisant. En tout cas, je ne sais absolument pas qui est mon créateur, ni pourquoi il a fait cela.

Seconde vie.

Je me rendis compte que Boston n'était pas l'endroit adéquate pour une vie de vampire. Trop de soleil à mon gout, trop de population, il est facile de se faire remarquer. Alors je décidais de partir. J'ai traverser toute l'Amérique, trouvant ensuite une utilité à mes dons, et à mon sadisme sans fin : Je devins tueuse à gage. Les gens me demandant de se venger, pour n'importe quelle raison. Je tuais, et je rendais une personne heureuse, une personne qui a vécu les mêmes choses que moi, qui ressent ce besoin de vengeance. Je tuais sans pitié, je me faisais payer, je ressentais un plaisir fou à tuer, et je me nourrissais avant de quitter la région. Evidement, je n'oublie pas que les humains m'ont persécuté durant longtemps et je leur crache bien à la figure. Ils vont payer pour avoir voler mon enfance. Alors je tue sans remord, je torture, je vis comme tout les vampires devraient vivre. Puis j'arrivais à Forks. Une ville tout simplement parfaite. On me dit que les Cullen y vivent, et je décidais de m'installer dans cette ville, afin de me faire discrète. J'irais me nourrir et exercer mon métier aux alentours, mais c'est là où je résiderais. Car malgré tout, j'aime le luxe, et une maison est un luxe effectivement.

han bienvenue beautée fatale ! réserve moi un lein en tout cas Cool

et bonne chance pour ta fiche !

bienvenue

Bienvenue sur AJE &' Bonne chance pour ta fiche Enora ◮ Mon père il disait : Dans la vie, y’a pas d’grands y’a pas d’petits. La bonne longueur pour les jambes, c’est quand les pieds touchent bien par terre. 3622819031

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Amelya, sans soucis Very Happy

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Bella : Ah ouuuui, je l'avais oublier celui là :') MDR, je suis un boulet xD Je change ca tout de suis -apres ma douche- :3

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Bienvenue et très bon choix Very Happy

Bienvenue belle gosse et jolie déesse, réserve moi un bon lien

Clique, c'est magique !

Bienvenue parmi nous encore ne vampire dis donc on va être envahis lol

Merci à touuuuuuuuuuuuuuuuuuuus !

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Ton don Il me rappelle trop celui de Barabas dans Charmed, j'adoore. Sinon ton histoire est très bien ♥ .. Je t'informe officiellement que tu es validé . Je te conseille de ramener rapidement tes jolies petites fesses ici afin de demander un rang, un logement etc et te créer des liens. Enfin mon chou, puisque tu viens de rejoindre notre grande et belle famille, tu peux dès à présent poster trois scénarios, écrire des rp ! Encore bienvenue et bonne chance à toi sur AJE !

Ohwn merci beaucoup beaucoup beaucoup chou

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» AMELYA •• être différente est une bonne chose
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