«MMAAAMMMAAANNN !!» Toute la famille était prête et m'attendais dans le salon. Aujourd'hui nous faisions nos courses de noël. J'aime les fêtes de fin d'année et tout le tralala, mais les courses de noël c'est juste horrible. Les gens s'affolent de partout en plus de ça en ce moment il y a des sortes de soldes. Je n'avais pas vraiment envie d'y aller, je voulais juste resté tranquille à la maison.«Maman, je suis obligé de venir ?» De plus j'étais pas habillé pour sortir en ville, je portais un jogging avec un sweat et bien sûr mes super bottes en moumoutes. «Oui, tu viens c'est une obligation et pour une fois arrête de raler un peu .. » C'est vrai qu'en ce moment je suis plutôt d'humeur boudeuse, j'ai envie de rien faire en générale. Je me dépêcha de me changer pour ensuite aller au centre commerciale.
Je déteste les sorties familiale surtout au centre commerciale. Mon objectif était tout simplement de pouvoir m'éclipser pour faire ce que j'ai envie. Mes frères, à peine arrivé, commencé à dicter leurs lois et faire ce que eux avaient envie. C'est toujours comme ça et sa me met tout simplement hors de moi. Au bout de quelques minutes, une fois dans le centre commercial, j'inventa une excuse bidon pour pouvoir partir de mon côté et être enfin tranquille.
Je marchais tranquillement dans les allées du centre commerciale après avoir pris un frappuchino au starbuck. Je sentis qu'il y avait un vampire dans le coin, je me demandais bien qui sa pouvait être et je croisais les doigts pour que mes frères ne s'en mêlent pas. Petit à petit je vis Alonzo Cullen, c'était donc lui le vampire dans le centre commercial, mais que fait-il ici ? «Coucou toi, que fais-tu ici ? Toi aussi tu fais tes achats de noël ? » Je lui souris aimablement. Alonzo était gentil malgré ses grands aires, il cache quelques chose et je compte bien trouvé ce que c'est. Je pense qu'une toute autre personne ce cache en lui, mais qu'il a crainte de se dévoiler.

J'adressai un large sourire à Alonzo j'aimerai, contrairement à d'autre, être avec lui c'est toujours très instructif. Il avait l'air d'être lui aussi de corvée d'achats de noël, il me montra son énorme sac de cadeau tout en me disant : « Effectivement, je suis de corvée cadeau de nöel, d’ailleurs, cela fait très, mais très longtemps que je n’ai plus fais ça. » Ça me faisais toujours rire lorsqu'un vampire me disais ce genre de chose. Je me demande quelques fois qu'est ce que ça fait d'être aussi vieux et de vivre autant de vie différente .. Je lui dis alors en déconnant : « Mon pauvre, c'est ça d'avoir 945 ans ! D'ailleurs tu es plutôt bien conservé pour un homme de ton âge ..» Je le poussa légèrement. Je bu le reste de ma boisson, je suis bien la seule personne qui bois un frappuchino en plein hiver, les gens doivent pensé que je suis bizarre. J'ai tout le temps chaud, enfin plutôt je n'ai jamais froid donc voir ou mangé de la glace en plein hiver ce n'est pas un problème ! Alonza me fit une remarque sur mon odeur, je n'aime pas trop ça ... « Bordel, je ne m’y ferais jamais à votre odeur. Mais, au moins, tu m’aides beaucoup à ne pas être tenté par les humains. Ça te dérange de rester avec moi ? » Alonzo a encore du mal avec l'odeur des humains, il est encore tenté malgré son âge ses pulsions sont toujours présente. « Il y a pas de problème, mais tu as de la chance il n'a pas plu aujourd'hui !» J'essayais malgré tout de prendre ça à la rigolade. Je resta relativement près d'Alonzo et continua la discussion. « Sinon tu raconte quoi de beau ? Sa fait longtemps qu'on s'était pas vus ! Je sais que j'aurai pu venir chez les Cullens, mais c'est pas encore la grande amitié pour ça et puis je suis en pleine intégration dans la meute de Jacob donc ce n'est pas facile ..» Je savais que je pouvais parler librement avec lui, bien que nous soyons différents et nos races sont ennemis, mais j'ai totalement confiance en lui.

Je n'aurai jamais imaginé, même dans mes rêves les plus fou, être amis avec un vampires. Première tout simplement parce que je ne connaissais pas leur existante et puis après j'étais sous l'influence de mes frères. Ma vie a totalement changé depuis que je suis arrivée à Forks, tout ce que je connaissais a été remis en question. Jusqu'à mon arrivée je pensai que les vampires étaient des montres et des êtres abominables. Lorsque je suis arrivée à Forks il y a quelques mois j'ai rencontré mon premier vampire végétariens, c'est étrange comme nom pour des vampires ils boivent tout de même du sang mais celui des animaux. Ce n'était pas un Cullen, je ne me souviens plus de son nom ... J'ai découvert beaucoup de chose ici, tout comme le fait que deux personnes qui sont à la base des ennemis jurés peuvent devenir de très bon amis. C'est le cas pour Alonzo et moi, une amitié comme la notre n’existe pas. Vous allez dire: mais si Bella et Jacob ! Eux c'est différent, ils se connaissaient avant leur transformation respective. J'ai de suite aimé l'humour d'Alonzo, il est certes très différents que les autres mais j'aime la différence. L'humour cache toujours quelque chose, le cas d'Alonzo est très spécial à mon goût. Tout homme cache une faiblesse quelques fois liée à son passé (oui je sors ça de mes livres de philosophie, mais sans commentaire), je suis certaine que c'est le cas l'Alonzo. Il est mystérieux, quelques fois distant. Enfin bref, Alonzo et moi sommes proches. Lorsque je suis avec lui il arrive toujours à me faire rire et je ne peux m'empêché de sourire en sa présence. « Je sais, je suis beau goss si je pouvais, je tomberais amoureux de moi si je le pouvais. Puis, non, je ne te donnerais pas mon remède de jeunesse… » C'est typique d'Alonzo, un parfait exemple qui me faisais explosé de rire. Personnellement je trouve que j'ai un rire horrible, on dirai un ornithorynque ou quelques de ce genre, ce n'est pas franchement gracieux .. « Allais, tu es très mignonne aussi on se met en couple comme ça on sera mignons ensemble. » Je souris et rougis aussi .. Je ne me trouve pas spécialement jolie ou belle quand je vois les vampires elles sont magnifiques et puis moi à côté que je suis un chien qui pue .. Génial ! « Oui, la météo a eu pitié de mon âme…ha non, juste, je n’ai plus d’âme je suis maudit à jamais, j’irais tous droit en Enfers ! » Je n'ai jamais compris cette histoire d'âme, c'est qu'a la base je ne suis pas très croyante, mais trouve ça bizarre voir glauque ... En tout cas le concept de ne pas vieillir d'adore ! Je ne veux pas devenir vieille, je ne veux pas devenir toute ridés sans maris et probablement sans enfants .. Oui je sais ce n'est pas très positif comme pensé, mais c'est ce que je pense réellement pour le moment. Je n'ai jamais trouvé l'amour et ce n'est pas avec ce que je suis désormais je le serais .. Tout est devenus si compliqué .. Heureusement avec Alonzo c'est tout le contraire, la vie parait simple. On ne se prend jamais la tête. Alonzo mit son bars autours de mon épaule, les gens devaient croire que nous étions en couple mais bon il est tout de même en apparence plus vieux que moi .. « Tu peux venir chez les Cullens, c’est chez moi aussi. La prochaine fois, tu n’hésites pas à venir me voir. Ho tu sais, la routine chez moi. J’ai beaucoup de travail au cabinet, ma vie de famille n’est pas spécialement fort facile mais je m’y habitue. Et toi, ton intégration ça se passe bien au moins ? »
« Tu devrais savoir avec le temps que je suis du genre timide et que je n'aime pas ingrusté chez des gens que je connais à peine .. Et bien pour le moment sa va, je reste dans mon coin j'obéis comme un gentil chien et je reste sage si je veux mangé ! » Je pris tout ceci à la rigolade, dans la réalité ce n'est pas vraiment comme ça enfin juste pour la fin heiin .. Alonzo pris ma boisson glacé et en bus une gorgée puis repris : « Promis j’ai pas craché dedans petite louve. » Je ris à nouveau. Alonzo me fit un baiser sur le crâne, je ferma les yeux pour apprécier le moment dans la totalité. Aucune personne à pars lui ne le fait, c'est une marque d'affection à laquelle je me suis attaché depuis que je le connais. Je me rapprocha de lui un peu plus, collé contre son torce une sorte de câlin. Il m’emmena ensuite dans un magasin d'électronique, ça tombe très bien j'ai besoin d'un nouvelle ordinateur, mon ancien à eu un petit "accident".

Alonzo m’emmena dans un magasin d'électronique ça tombé à pic puisque j'avais besoin d'un nouvelle ordinateur portable. Il y a un peu d'une semaine celui-ci a explosé contre le mur de ma chambre après une énième dispute avec mes frères qui ne comprennent pas mon choix de meute. La vie est tendu à la maison, ma mère essaie de resté neutre, mon père ne se mêle pas de tout ça et puis mes frères sont toujours là pour me faire la leçon. En ce moment je suis souvent dehors que j'ai moi, je passe beaucoup de temps dans la forêt de la réserve. Enfin bref, ce n'est pas la grande forme c'est deniers temps .. Alonzo me fit encore rire lorsqu'il fit la moue pour que je l'aide. « Aides-moi à trouver un portable digne de ce nom, parce que sincèrement, il y en a tellement que je ne saurais pas choisir. » J'étais contente qu'il me demande de l'aider, je comprend que ça ne doit pas être facile de s'adapter à toute ces nouvelles technologies lorsqu'on a vécu aussi longtemps ! J'avoue que je serais moi même perdu. Là où je vivais avant de venir à Forks je travaillé le week end dans un magasin comme celui-ci j'étais plutôt spécialisé dans les ordinateurs et pas franchement les portables, mais bon c'est à peu près pareil. Alonzo s'appuya totalement sur moi, ses bras sur les épaules et sa tête posé sur mon crâne.« Sa va t'es bien installé ?» Alonzo était bien plus grand que moi. Je suis de taille moyenne voir petite du haut de mon un mètre soixante. Il reprit par la suite : « A mon époque, on se cassait moins la tête pour offrir des cadeaux…un cheval, un panier de fruit, un palais et c’était bon comme ça. Non, maintenant faut faire six milles magasins. » Je ris légèrement tout en imaginant à quoi sa vie ressemblé lorsqu'il était encore humain. Il a vécu tant de chose, vus dans te chose et d'époque différente. J'aurais aimé voir toute ses choses juste par curiosité, mais cette idée de voir mourir toute ma famille au fil des années tandis que je prenais pas une ride me donne des frissons. Enfin bref, oublions tout ce côté morbide et déprimant. Alonzo avait l'air d'être bien décider sur ce qu'il allait acheter tandis que pour ma part c'est le néan totale, d'ailleurs il faut que je trouve un cadeau à Alonzo .. « Je sais, je vais offrir à Esmée un chat et à Rosalie aussi, je sais qu’elles adorent les chats ! Après, faudra que tu viennes avec moi au cabinet vétérinaire. » Je n'en revenais pas, il compte vraiment offrir un chat à des vampires qui mangent des animaux ? C'est assez bizarre je trouve .. « Tu compte leur offrir un chat ? T'es sur qu'elles ne vont pas plutôt les manger ? » Alonzo me proposa de venir à son cabinet, c'est vrai que depuis que je le connais je n'y suis encore jamais allé. Je ne sais même pas où il se trouve a vrai dire .. « Si tu veux, mais je te préviens moi j'aime pas trop les chats, tu sais les chiens et les chats se n'est pas une grande histoire d'amour .. » En réalité je ne suis pas très a laise dans les cabinets que ce soit vétérinaire ou chez le médecin, je n'aime pas l'odeur qu'il y a ça me stresse, je ne me sens pas a laise du tout. Il posa sa tête; cette fois, sur mon épaule et me pris dans ses bras. Alonzo ne se compte pas comme ça avec tout le monde qu'on se le dise. « Hein oui que tu veux bien accompagner un pauvre bébé vampire comme moi ? » Je me mis à explosé et repris: « Oui un bébé de plus de 900 ans, d'accord je viendrais .. » Je vais vous avouez quelques chose, je ne peux pas dire non à Alonzo ..

Il y avait énormément de monde en ce début du mois de décembre, je savais pertinemment qu'Alonzo avait encore du mal à résisté à ses envies de sang humain. C'est pour cela qu'il reste aussi près de moi. Ce que j"aime chez lui c'est aussi sa discrétion, je déteste être centre de l'action pour n'importe qu'elle raison, je n'aime pas non plus quand les gens parlent tout haut et fort des vampires etc. Alonzo me chuchota à l'oreille : « Et sais-tu ce que l’on dit sur les vampires et les loups, qu’ils ne peuvent pas se voir en peinture. » Ça me faisais toujours sourire cette histoire. Lorsqu'on voit notre amitié c'est difficile de croire que le contraire est dans notre nature pourtant je sais très bien de certain loup ne supporte pas les vampires. Personnellement je pense qu'il y a une part de jalousie dans tout ça, avouez que c'est le rêve de ne pas vieillir ! « Je n’ai pas neuf cent ans, j’en ai neuf cent quarante-cinq ans, je suis encore jeune moi madame… » Je ris légèrement tout en continuant de regardé uniquement avec les yeux les ordinateurs portables sans relevé ce qu'il venait de dire. J'étais pratiquement hypnotisé et je ne remarquais pas les gens qui m'entourais. Alonzo me fit un baiser dans le coup, je sursauta le fait, lorsque je sentis ses bras frôler ma peau je me mis a frissonner. Je souris, ça fais toujours plaisir un baiser comme celui-ci dans le coup. Il me murmura ensuite à l'oreille : « Si je te mord, tu me mords ? » Je remua la tête. J'étais mal à laise désormais, je ne me sentais pas bien, observé. Je ne lui répondis même pas et m'éloigna de lui de quelques mètres pour regardé des appareils photo numérique. Alonzo revena à la charge et cette fois ci me dit à l'autre oreille : « Trouve moi un portable digne de ce nom, sinon je te mange toute crue. » Mon coeur se mit à battre chamade, il fit plus d'un tour dans ma poitrine. Je me retourna vers lui et dis : « Je sais très bien tu es tout simplement incapable de me morde, sinon tu es un homme mort .. » Je me rendis dans le rayon des téléphones et regarda directement les smartphones dernières générations. Je me sentais encore mal à laisse et je m'étais refermé sur moi donc du coup beaucoup moins bavarde.
Je regardais les téléphones lorsqu'un jeune homme employé du magasin me demandait si tout allait bien. Je lui demanda quelques conseils avant de le suivre dans un autre rayon. J'avais totalement perdu de vue Alonzo, je n'avais aucune idée d'où il était en plus avec tout ce monde il était difficile de le trouver simplement avec le regard.« Excusez moi, mais je dois retrouvé d'abord mon ami, je reviens tout de suite. » Je quitta le jeune homme pour retrouver Alonzo, j'eu peur qu'il lui soit arrivé quelque chose comme pour un enfant. Et si il s'était attaqué à quelqu'un, qu'il a été repéré par un de mes frères ... Mon coeur se mit a nouveau battre à un rythme affolant. Je le cherchais dans tout les rayons d'un pas rapidement. Soudain je me retourna et le vit devant moi : « Enfin ! Je te cherche partout, tu m'a fais peur de disparaître comme ça .. »Je fronça les sourcils avant de reprendre : « Bon j'ai trouvé le parfait téléphone pour Bella. Tu viens le vendeur nous attend dans le rayon. » Je n'étais pas très aimable après cette escapade, et oui je suis une personne relativement lunatique dès fois c'est compliqué de me suivre et de me comprendre ..

Lorsque Alonzo fût a nouveau avec moi je remarqua que ses yeux avaient changé. Mes craintes avaient eu raison, je n'aurai pas du le laisser seule ainsi. Je devais le faire sortir de là pour qu'il se calme et qu'il reprenne ses esprits. « Et ma petite louve, tu boudes ou quoi ? » J'avais envie de lui répondre, mais si c'est pour dire des bêtises ce n'est pas la peine. Moi aussi j'avais besoin en quelques sorte de me calmer. Alonzo est un bon ami. Il posa sa main sur ma joue brûlante, j'avais envie de lui dire que lorsqu'il agissait ainsi il me rendait folle. Il plongea également ses yeux dans les miennes, mon coeur a faillis s'arrêter de battre. « Allais viens, madame j’ai le cœur qui bat la chamade et qui change d’humeur. » Je suivis Alonzo s'en hésiter tout en lui disant : « Ça c'est de ta faute, tu n'avais pas qu'a faire toute ses choses .. » Je marcha au près d'Alonzo, presque collé à lui pour ne pas qu'il soit tenté par l'odeur du sang humain. Nous nous approchions du vendeur auquel j'avait demandé conseil auparavant. Alonzo n'avait pas franchement l'aire d'aimé vus la tête qu'il faisait lorsqu'il vit le vendeur. Je ne lui trouvais rien de spéciale, il était beau gosse et puis c'est tout. Lorsqu'on arriva à son auteur, Alonzo s'approcha de lui et lui dit droit dans les yeux : « Vous voulez une photo ou encore mieux, un poster ? Elle n’est pas libre, alors gardes tes yeux dans ta poche sinon tu vas vite le regretter ! » Je devena aussi rouge d'une tomate ou que tu sang. Je ne m'attendais pas du tout a ça. J'attrapa le bras d'Alonzo et le tira tout en disant : « Arrête, tous le monde nous regarde ! Sortons prendre l'aire .. » Je le tira vers la sortie. Je me sentais hyper mal a laisse, je voulais me cacher dans un petit trou de souris. Je baissa la tête, je n'avais pas honte au contraire c'est jusque que j'étais tellement rouge ..
Je sortis du centre commerciale, nous étions sur le parking pour prendre l'air et j'en avais aussi grand besoin. Nous étions dans un coin où il y avait personne, ainsi nous pouvions parlé librement. Je marcha pour sentir l'air frais sur mon visage et calmer mes nerfs. J'étais comme un lion en cache. J'alla voir Alonzo, je ne sais même pas ce qu'il faisait pendant que j'étais en train de me calmer. « Je vois que sa t'amuse de me mettre mal à laisse comme ça ! » J'étais énervé, le loup hurlait en moi mais ce n'était pas le moment de se transformer pas en pleine ville. Je m'assis à terre la tête contre mes genoux. Alonzo s'assit à mes côtés. « Désolé de te crier dessus .. » Je posa ma tête sur mon épaule de marbre. Je me blottis contre son corps de glace, j'avais peu a peu les joues moins rouge et je me calmais. Je n'aimais pas c'est saut d'humeur que j'avais encore du mal à contrôler. Je lui fis un bisous sur la joue avant de me blottir un peu plus contre lui. Je réalisa par la suite que mes parents devaient m'attendre. « Oh mon dieu, mes parents ! Je vais devoir y aller mes parents doivent m'attendre ... Même si je n'ai pas envie de rentré .. » Après mes états d'énervement, je devenais plus dépressive et déballa tout mon sac. «En ce moment rien ne va à la maison, mes frères sont horribles avec moi, ce n'est que des disputes incessante .. » Je me retenais de ne pas pleurer. Je ne parle pas de ce genre de chose, je n'ai pas d'amis à me confier enfin des gens qui me comprennent vraiment. J'ai pensé que Alonzo était une personne à qui je pouvais tout dire, que dans un sens nous étions pareil.

J'entendis Alonzo soupiré lorsque je lui dis que mes parents m'attendaient. Il voulait passé la journée avec moi, je n'étais pas contre au contraire j'adorerais ! Je déteste tout ce qu'il se passe chez moi depuis quelques temps. Tout a commencé lorsque j'ai choisis de rejoindre la meute de Jacob au lieu de suivre mes frères. Ils n'ont pas du tout aimé puisque la meute de Jacob n'est pas ennemis des vampires comme les Cullen. Depuis entre mes frères et moi c'est la guerre tous les soirs et dès que nous sommes dans la même pièce. D'ailleurs pour les évités je mange quelques fois dans ma chambre au lieu d'autours de la table avec ma famille. Je ne vous cache pas que c'est une situation difficile et que j'en souffre. Ça me faisais un bien fou de pouvoir enfin en parlé à quelqu'un, ce n'est pas facile de trouver une personne qui est de mon monde et qui me comprenne. Alonzo posa sa main sur mon visage et le tournis pour que je le regarde dans les yeux. Ses yeux avaient a nouveau changé de couleur, ils étaient plus clair donc il s'était calmé. Il me dit d'un ton posé : « Et, ca va aller ma belle. Ce n’est pas toujours facile, mais il y a de bons moments. Je me souviens qu’avec ma sœur on se chamaillait quelques fois, mais pourtant, ce fut la seule fille que j’ai aimé de tous mon cœur. » Il caressa doucement ma joue avec tendresse puis longea son regard dans le mien. « Tu es une fille forte Fantasy, c’est ça qui me plais chez toi, atrocement. Malgré ton âge, tu sais ce que tu veux, en-même temps tu ne laisses rien paraître. Tu es un peu comme moi… » Je souris légèrement et baissa la tête. Au fond de moi je me retenais de pas pleurer. Le pauvre Alonzo n'avait pas de chance aujourd'hui il était confronté à mes sauts d'humeurs. Je resta blottis contre lui et repris à voix basse : « J'aurai aimé que tu sois mon frère, tu n'es pas cruel au contraire tu as doux et gentil et puis à l'écoute. » Je soupira et repris : « Sa ne te dérange pas si je reste avec toi ? Mes parents ne m'attendrons pas pendant des heures et puis comme ça je reste avec toi jusqu'à ce soir .. » Je devais me changé les idées et je savais que rester avec Alonzo m'aiderai. Je resta blottis contre lui pendant quelques minutes encore. J'étais quelque peu en manque d'affection, je ne parle qu'à peu de gens en ce moment.
« Bon, ont étaient pas venus ici pour acheter des cadeaux ? » Je ne sais pas si Alonzo était encore prêt pour retourner au milieu de la foule et de tout ses corps remplis de sang. C'est vrai qu'a sa place si je me retrouverai au milieu d'une pâtisserie pleine à craquer je ne sais pas si je tiendrais très longtemps sans me ruer sur quelque chose. Depuis que je suis devenue louve j'ai constamment faim comme si je n'étais jamais rassasier donc du coup j'ai pris l'habitude de manger tout le temps le problème c'est que ce n'est pas très bon pour la ligne. Mais il ne faut pas trop parlé de ça parce que j'ai faim ! Je me releva doucement et me mis debout face à Alonzo tout en lui tendant la main. « Tu viens avec moi ? » Je le regarda avec mes yeux de chien battus, et pencha la tête sur le côté avec un petit sourire.

Je me sentais a présent un peu mieux, un boulet s'était enlevé de mon pied. Alonzo avait réussit à me rassurer et a me redonner un peu de confiance en moi. Je souris lorsqu'il me dit que : « Non, tu peux rester avec moi autant que tu le souhaites. Puis, merci du compliment, mais je n’ai pas toujours été doux et gentil, crois-moi, le temps à fait que je me suis forgé un caractère… » J 'avais du mal à imaginer Alonzo en vampire sanguinaire, qui tue des humains et les vides complètement de leur sang. Je ne peu pas le voir comme un meurtrier. Il est totalement différent de ces genres de vampires. Je ris légèrement lorsqu'il m'a dit qui pourrait sauter sur le premier mec qui me regardais avec de mauvaises intentions. Je ne pensai pas qu'Alonzo était aussi protecteur avec moi, il n'avait jamais réagit comme sa auparavant. C'est vrai que c'est plutôt flatteur, mais qu'un autre côté je trouve sa louche et je ne sais pas franchement pourquoi. Alonzo prit ma main et se releva, puis comme tout a l'heure il m'entoura de son bras. « Bon, il me faut un jouet pour Louve, sinon je serais un mauvais parrain…et ma sœur ne me le pardonnerais jamais. » Alonzo parrain ? Je n'étais pas au courant pourtant j'aurai pu m'en douter, la famille Cullen est plutôt grande par rapport à la mienne ou bien même ma meute.« Tiens toi t'es parrain je ne savais pas dit donc ! En plus elle s'appelle Louve c'est étrange comme nom pour une enfant vampire plutôt ironique même .. » Nous marchions dans le centre commerciale en direction d'un magasin de jouet. Il y avait toujours autant de monde voir même un peu enfin c'est peut être qu'une impression. Pour le cadeau de Bella je crois que c'est foutue avec ce qu'il s'est passé tout a l'heure .. Nous rentions dans le magasin, le plus bondé de tous et j'avais peur pour Alonzo. Je posa ma main sur mon torse, près du coeur, tout en le regardant dans les yeux et dit : « T'es sûr que sa va aller ? » Je savais pertinemment que c'était encore dure de résister au sang humain. Je comprend tout a fait que changer de régime après 900 ça ne doit pas être simple du tout. Moi même j'aurai du mal de me passer de la viande bien saignante et ne manger que des légumes .. Beurk !

Le magasin était bondé, c'était le pire de tous. En venant jusqu'ici j'appris que Rosalie et Emmett avaient adopté une fille, je ne sais pas si c'est permis probablement puisqu'elle est humaine. Une fois entrée dans toute cette jungle je fus moi même estomaqué par la foule dans un magasin de jouet tout de même ! Les gens sont complètement fou la dedans, c'était une vrai jungle, je resta sans bougé pendant quelques instants. Je sentis et vus qu'Alonzo était crispé, il ne se sentait pas bien et me dit de façon relativement violente : « Il faut que je sorte…maintenant ! » Je n'ai eu le temps de rien ni de faire quelques chose qu'Alonzo disparût. Il était parti en courant, la seule solution. Les vampires ont cette facultés de ce déplacer rapidement lorsqu'il le souhaite. Lorsque je suis une louve je cours aussi vite d'un vampire, voir même plus vite personne ne sait vraiment ... Il faudrait le démontré. Alonzo était parti de façon brusque, je savais que là c'était grave une alerte rouge générale ! Je sortis du magasin puis je me mis à courir dans le centre commercial tout en cherchant Alonzo. Je cherchais Alonzo par rapport à son odeur, les vampires ont une odeur très forte tout comme les humains il a une odeur particulière propre à lui. Je me dirigea vers l'extérieur, je pense qu'il a tout d'abord été dehors pour ce calmé. J'ai tout d'abord regardé à l'endroit où nous étions au paravant, il avait personne donc je pensai que c'était un bonne endroit pour ce calmé. Malheureusement Alonzo ne se trouvait pas ici, je courus autours du centre commercial. Il était nécessaire que je le trouve.
Je trouva Alonzo avec une femme qu'il avait plaqué contre le mur, heureusement il y avait personne en vus. Il avait perdu tout contrôle de lui même et j'étais sur le fait un peu choqué. Je n'avais jamais imaginé une tel situation peut être que j'aurai dû. La femme était terrifié, elle pleurait et gémissait. J'arriva en courant et poussa de toute mes forces Alonzo pour qu'il s'éloigne de cette pauvre femme. « Lâche là ! »Je cria par la suite à cette femme de courir et de rentré à l'intérieur du centre commercial. Les vampires ont une force surhumaine, les loups-garous l'ont aussi sous leur forme animal mais elle reste moins importante sous la forme humaine. Bien que ma force est considérablement augmenté depuis que je suis devenus loupe elle reste inférieur à celle d'Alonzo qui de plus est un vampire âgé. Je vis Alonzo revenir à la charge, il était complètement fou, j'essaya de l'arrêter.« Ne me force pas à me transformé !» Mes mots n'avaient aucun effets, Alonzo me poussa violent et j’atterris dans le mur. Je me fis mal, mais pas au moi d'avoir par exemple l'épaule déboîter. Je me releva pour ne pas perdre Alonzo des yeux qui n'était heureusement pas parti. J'étais énervé, tout ceci monté en moi et j'avais envie de me transformer cependant c'était dangereux puisque nous étions en pleine ville.